Je pense que maintenant les choses commencent par devenir claires pour les politico- militaires. Ils ne peuvent rien faire à Deby individuellement. Les derniers combats ont prouvés que la résistance peut arriver à bout des forces loyalistes sauf s’ils sont unis. Le président Deby a tous les moyens qu’il faut, utilisant les ressources nationales et les capacités de l’Etat en jouant sur la...
Eric Breteau. Au deuxième jour du procès de l’Arche de Zoé à N’Djamena, le président de l’association a mis en cause un intermédiaire tchadien sur l’origine des enfants. Qui a quitté le tribunal menotté.
Le procès de l’Arche de Zoé reprend ce lundi matin à Ndjamena. Six Français, trois Tchadiens et un Soudanais comparaissent devant la Cour criminelle de la capitale tchadienne pour avoir tenté, fin octobre, de ramener clandestinement 103 enfants en France. Alors qu'à Ndjamena les responsables de l’association l'Arche de Zoé attendent de connaître le sort que leur réservera la...
Le silence du ministre des affaires étrangères sur l'affaire de l'arche de Zoé tranche bien avec ses colères pourtant promptes et injustifiées face à certains événements qui quelques fois ne demandent pas tant. Mais on ne le dit pas assez, Bernard Kouchner est le grand artisan du drame qui se déroule au Tchad
Avant le déploiement de l’opération Eufor, Paris va discrètement équiper l’armée tchadienne en missiles Milan pour “neutraliser
L'Arche de Zoé rejette depuis le début de son procès à N'Djamena la responsabilité sur ses intermédiaires locaux, qu'elle accuse d'avoir présenté comme orphelins du Darfour les 103 enfants, mais elle peine à justifier les conditions de leur exfiltration avortée.
Debout face à la Cour, Eric Breteau, le meneur de L'Arche de Zoé, argumente avec assurance, et prend d'emblée en main sa défense et celle de ses cinq coaccusés français qui comparaissent depuis vendredi à N'Djamena pour tentative d'enlèvement d'enfants. "Je conteste les faits qui me sont reprochés.
Dans le journal télévisé du 29 octobre 2007, France 3 a diffusé un reportage dans lequel Eric Breteau faisait l'aveu suivant: "Nous sommes venus ici au Tchad pour aider les enfants Tchadiens, pour aider les enfants Soudanais".
Réplique à des dérives de la presse:
Ahmat Bâchir avertit les journalistes : «Celui qui écrit n'importe quoi, verra sa plume cassée ! »
«Le gouvernement ne tolérera aucune dérive d'où quelle vienne et de quelle que nature qu'elle soit. Les hommes et les femmes du métier sont invités à exercer, librement, en respectant les règles de l'art. La presse et le...
La nationalité et la filiation des enfants qui devaient être exfiltrés du Tchad vers la France ont été samedi au coeur du procès de l'Arche de Zoé à N'Djamena, avec les auditions d'une responsable de l'association et de trois de ses collaborateurs.