Le président Nicolas Sarkozy a "condamné" vendredi "l'usage délibéré et disproportionné de la force" après la mort d'un soldat français de l'Eufor Tchad-RCA, tué lundi lors d'un accrochage au Soudan.
On ne saura jamais mesurer l’immensité de l’opprobre dont fait magistralement montre le despote Idriss DEBY pour sa gouvernance du Tchad, une manière au diapason de la réalité d’un Etat digne de ce nom. Le régime de DEBY n’est rien d’autre qu’une machine à répression de la population civile, un véritable rouleau compresseur tribal et d’exclusion sociale.
La présidence française a salué vendredi l'intention du président tchadien Idriss Deby Itno de grâcier les membres de l'Arche de Zoé, mais a confirmé que l'Etat n'envisageait pas de payer les quelque six millions de dommages et intérêts qu'ils ont été condamnés à payer.
Quand Rama Yadé, dans un élan d’indignation, s’est exclamée à la tribune de l’Assemblée nationale que « L’Afrique de papa c’est fini ! », nous étions loin d’imaginer que cela signifiait le pire, c’est-à-dire que l’Afrique de grand-papa était de retour, celle du mépris des Africains, affiché sans états d’âme.
Le corps du soldat français de l’Eufor, la force européenne au Tchad, tué lundi au Darfour, doit être rapatrié aujourd’hui depuis Khartoum, la capitale soudanaise.
Le président tchadien Idris Deby Itno a affirmé jeudi qu'il envisageait de gracier dans "moins d'un mois" les six Français de l'Arche de Zoé, après avoir "trouvé une solution" à la question de l'indemnisation des familles des 103 enfants tchadiens.
La procédure en cours concernant la demande de grâce des six membres de l'Arche de Zoé devrait aboutir d'ici un mois, a estimé le président tchadien Idriss Déby, dans un entretien à la chaîne de télévision France-24: il faut cependant régler "un problème qui n'a pas encore été évoqué", l'indemnisation des familles, des réparations d'un montant de "quatre milliards...
Les chefs d'Etat du Soudan et du Tchad, Omar el-Béchir et Idriss Deby Itno "vont très certainement signer", lors d'un mini-sommet le 12 mars à Dakar, un "accord de règlement définitif du conflit" qui les oppose, a annoncé jeudi une source proche de la présidence sénégalaise.
Arrivé à Paris jeudi, l'opposant tchadien Ngarlejy Yorongar a jeté le trouble en déclarant que Ibn Oumar Mahamat Saleh, disparu comme lui le 3 février et toujours pas réapparu, aurait été battu à mort par ses geôliers. Le président tchadien, Idriss Déby, qui a accepté une enquête internationale, affirme ne pas savoir où est Saleh, dont le fils a...
La Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) exprime sa grave préoccupation sur :