L’opposant tchadien Ibni Oumar Mahamat Saleh, disparu depuis le 3 février 2008 à N’Djamena, est toujours en vie, a déclaré mardi à Paris son fils Hicham Ibni Oumar Mahamat Saleh, lors d'un entretien accordé à la PANA.
Timan Erdimi a raison de lancer une menace d'attaque vers le sud pétrolier et les sceptiques du RFC et de l'Alliance Nationale se trompent.
Pourquoi?
Devant les multiples interrogations, et messages des militants, sympathisants et amis sur la question de savoir si la Résistance va s’attaquer aux installations pétrolières, l’Alliance Nationale entend amener pour sa part, la mise au point suivante :
La principale coalition de l'opposition tchadienne, dont l'opposant disparu Ibni Oumar Mahamat Saleh était le porte-parole, a demandé lundi sa libération et "la mise en place d'une commission d'enquête réellement internationale et réellement indépendante".
Les partis politiques membres de la CPDC, réunis ce jour 17 février 2008 en plénière :
1- Réitèrent leur exigence de la libération sans délai et sans condition d’Ibni Oumar Mahamat Saleh, Porte parole de la CPDC, enlevé par la Garde présidentielle, le 03 février 2008 à 19h30 à son domicile...
L'Eufor Tchad-RCA, la force européenne en cours de déploiement dans l'est du Tchad et le nord-est de la République centrafricaine, a annoncé lundi avoir officiellement entamé son mandat d'un an confié par les Nations unies.
Un des principaux chefs rebelles tchadien Timan Erdimi a menacé dimanche d'attaquer le "sud pétrolier" du Tchad alors qu'à l'inverse un autre important chef rebelle, le général Mahamat Nouri a estimé qu'il fallait "préserver le secteur pétrolier".
Les Africains sont encore passés à côté de la plaque comme à l'accoutumée au sommet de l'OCI de Dakar. Pour une fois de plus, ce sommet s'est tenu en terre d'Afrique Noire. Si les pays Arabes profitent de telles circonstances pour montrer leur solidarité, à juste titre, et pointer du doigt leur ennemi commun Israël, les Africains, eux, brillent...
Un des principaux chefs rebelles tchadien Timan Erdimi a menacé dimanche d'attaquer le "sud pétrolier" pour "faire comprendre à la France et aux Etats-Unis qu'il n'est pas dans leur intérêt" de soutenir le président Idriss Deby Itno.
Les rebelles tchadiens du Rassemblement des forces pour le changement (RFC) ont menacé d'attaquer la région de Doba, au sud, si la France et les Etats-Unis n'obligent pas le président Idriss Déby à dialoguer.