Depuis la chute inattendue de son ex-ami, l’ancien Président soudanais, Deby est sur tous les fronts surtout ceux des pays voisins qui le touchent. Directement : soudanais et libyen. Il s’occupe en effet ces derniers temps plus de la situation de ces deux pays que les problèmes de son propre pays. Au soudan, grâce à
Boko Haram n’était pas une création de Deby, loin de là ; elle l’a été le fait des généraux nordistes nigérians, (les Babangida, Buhari, Mahamat Chetté, etc.) quand ceux-ci traversaient le désert après avoir perdu le pouvoir en faveur des sudistes à l’issue des élections démocratiques. Les généraux nigérians avaient présenté Boko Haram à Deby
Soudan: selon les murmures de la rue, l’homme qui a été choisi pour remplacer le 1er Gal est aussi sale que le 1er, fortement impliqué dans le génocide du Darfour. Le parti islamiste qui cherche coûte que coûte à conserver le système aurait trompé la vigilance de la rue en conduisant le dernier Gal au
Oui, oui, soulagé, très soulagé même d’avoir pu sauver le système Oumar El-Béchir. En effet, Deby a suivi et intervenu directement ou indirectement, les évènements de Khartoum. Il était en contact permanent avec El-Béchir, en contact permanent avec le Chef des djandjawids par l’intermédiaire de son Directeur du cabinet militaire, cousin de l’autre, en contact
Depuis Amdjeress, Deby est en contact avec El-Bechir. Ils se téléphonent quasiment toutes les quarts d’heure ; la consigne est claire : ne démissionne jamais, utilise l’eau et le gaz lacrymogène pour faire disperser la foule. Il semble que ce sont les mêmes refrains qu’il avait balancés à El-Bechir lors de son dernier aller-retour. La
Au moment où le régime de Khartoum est sous la pression de la rue, on constate ces derniers temps un redéploiement massif des djandjawids, renommés depuis « Dam-Assery (Secours rapide), aux frontières Est du Tchad. Les populations frontalières, très inquiètes de cette présence, vont de toutes les spéculations ; pour certains, c’est à la demande
Au temps du boom pétrolier, tous les éléments de la famille d’Idriss Deby (maternels et paternels), étaient des salariés ; avec le temps et la crise aidant, ces salaires se sont distendus pour devenir des aides ponctuelles et in fine, réduites à une assistance unique pendant le mois de Ramadan. C’est à l’une de ses
Réunis en plénière ce samedi 30 mars 2019 à N’djaména, les partis de l’opposition démocratique ont analysé la situation politique en cours. Cette situation qui se traduit par la mise en place de la CENI et la désignation de son président ne respecte ni la loi 30/PR/2018 u 30 novembre 2018,ni le consensus exigé. Pour