En réagissant aux propos de Mahamat Nouri, mon message était clair : je suis preneur d’un débat, non sur la personne de ce seigneur de guerre mais, sur ses opinions politiques et ses compétences à diriger le Tchad. Le fait que Mahamat Nouri ait nié la valeur républicaine de la laïcité est une maladresse politique grave qui confirme ses nombreuses...
L’homme se présente dans les milieux de l’opposition tchadienne en France comme un opposant irréductible au régime de Deby, et même comme un représentant d’un des groupes armés de l’Est. Mais l’homme utilise pour ses déplacements parisiens la Peugeot 406 immatriculée 108 CD 109 c'est-à-dire une voiture de l’Ambassade du Tchad à Paris, rencontre très fréquemment l’Ambassadeur et a...
Lassée par le non-respect du Tchad des accords sur l'utilisation de ses revenus pétroliers, la Banque mondiale a supprimé son aide aux infrastructures pétrolières alors que N'Djamena assure qu'il s'agit d'une décision "consensuelle".
Le ministre tchadien de l'Economie et du Plan Ousmane Matar Breme a affirmé mercredi que la décision de la Banque mondiale (BM) de supprimer son aide à l'infrastructure pétrolière tchadienne avait été prise "de manière consensuelle".
Une figure de la société civile tchadienne, a critiqué mercredi le président Idriss Deby qui "utilise l'argent du pétrole pour faire la guerre", mais aussi la Banque mondiale qui "a fui ses responsabilités" en supprimant son aide à l'infrastructure pétrolière.
Mahamat Nouri, principal chef rebelle du Tchad, a affirmé mercredi que le président Idriss Deby "détourne l'argent du pétrole" tandis que "la population paie", réagissant à la décision de la Banque mondiale (BM) de supprimer son aide à l'infrastructure pétrolière tchadienne.
La Banque Mondiale se retire du projet pétrolier de DOBA au Tchad. L'institution financière a exigé du gouvernement tchadien qu'il rembourse la totalité de ce qu'il devait encore à l'institution financière internationale, soit 66 millions de dollars. C'est la fin de l'implication de la Banque Mondiale qui avait cautionné ce projet pétrolier depuis sa création en 2001. La Banque...
En 2001, la Banque mondial a fourni un financement au Tchad pour soutenir le développement de l’oléoduc Tchad-Cameroun, dans le cadre d’un accord qui assurait qu’une partie importante des revenus pétroliers serait utilisée pour contribuer à la réduction de la pauvreté.
Le 25 septembre 2007, le Conseil de sécurité de l’ONU décidait d’envoyer des instructeurs au Tchad afin de former des policiers et des gendarmes locaux. Leur mission : assurer dans l’est du pays la sécurité des camps où survivent des centaines de milliers de réfugiés soudanais du Darfour et de déplacés tchadiens.
La Banque mondiale a annoncé mardi avoir mis fin à son accord d'aide au développement des infrastructures pétrolières du Tchad, celui-ci ne respectant pas selon elle ses engagements en matière de réduction de la pauvreté.