Les forces gouvernementales tchadiennes ont remporté une "victoire nette" sur les rebelles venus du Soudan lors des affrontements des derniers jours, a affirmé dimanche une source militaire française à N'Djamena, estimant que les combats étaient "dans une phase finale".
Notre "riche" pays mais appauvri par l'égoîsme,l'esprit clanique primaire, continue à vivre des moments sombres.Quelle guerre pour quel Tchad? Je suis un partisan de la paix mais lorsque tous les moyens légaux d'y parvenir sont usés, lorsque le minimum du
citoyen n'est pas assuré c'est-à-dire, la santé,
l'éducation, l'autosuffisance alimentaire,le
respect de...
Chers compatriotes,
« La guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens. » disait Carl Von CLAUSEWITZ, le célèbre théoricien de la guerre Allemand.
Le président tchadien menace une nouvelle fois de rompre avec le Soudan. Dans un discours prononcé samedi 9 mai devant un conseil des ministres extraordinaire, consacré à la situation du pays après la nouvelle offensive de la rébellion, Idriss Deby Itno a directement mis en cause Khartoum. Il a affirmé qu'il envisageait de rompre les relations diplomatiques avec le...
Le Tchad a revendiqué samedi une "victoire décisive" sur les rebelles venus du Soudan après deux jours de combats meurtriers, et a menacé de rompre ses relations diplomatiques avec Khartoum tout en critiquant vertement l'Union africaine (UA).
L'armée tchadienne a revendiqué samedi une "victoire décisive" sur les rebelles qui n'en veulent pas moins marcher sur N'Djamena, au mépris des condamnations internationales, alors que l'est du pays connaît une accalmie, après deux jours de combats meurtriers.
Le président tchadien Idriss Deby Itno a affirmé samedi soir, alors que son pays fait face à une offensive rebelle venue du Soudan, que le Tchad envisageait de rompre les relations diplomatiques avec Khartoum et de "retirer sa confiance" à l'Union africaine (UA).
Des affrontements entre les rebelles du Mouvement pour la justice et l'égalite (JEM) et des forces pro-gouvernementales ont eu lieu samedi au Darfour-Nord, près de la frontière du Tchad, forçant le déplacement d'une centaine de personnes, ont indiqué les rebelles et les casques bleus.
Le gouvernement tchadien ne cache pas sa joie, deux jours après les combats qui ont opposé l’armée aux troupes rebelles de l’UFR (l'Union des forces de la résistance) autour d’Am-Dam, dans l’est du pays. Pourtant, à Ndjaména, rien ne peut laisser penser que le pays est en guerre. Pas de déploiement de militaires dans la ville et aucun blindé...
La répétition des offensives rebelles n'est pas une nouveauté dans l'histoire du Tchad. L'actuel chef de l'Etat, Idriss Déby, a lui-même renversé son prédécesseur, Hissène Habré et conquis le pouvoir, en 1990, au terme d'une offensive sur N'Djamena menée avec l'appui de la France. Mais l'accélération du rythme de ces attaques, en soulignant l'instabilité et l'isolement persistants du pouvoir...