Le Gal Khalifa Haftar s’est embourbé à l’entrée de Tripoli et on ne voit aucune porte de sortie sinon sa défaite inéluctable sur toute la partie qu’il contrôle. Ses mentors, à savoir l’Arabie saoudite et les Émirats, ont décidé de le soutenir et de le sauver à coup de dollars et des matériels sophistiquées ;
Deby est le 1erà vouloir toujours régler les problèmes des autres quand les siens s’entassent jusqu’à dégager une odeur nauséabonde qui tue. Après l’entretien qu’il a eu avec le président du Comité militaire soudanais à la Mecque, Deby a décidé de s’occuper de l’aéroport de Khartoum, paralysé depuis 3 mois par une grève du personnel,
Idris Deby a la santé d’un homme de 70 ans dont la vie est jonchée d’alcool, des drogues, des femmes et des combats armés. Certes le corps humain supporte mal l’intensité d’une telle activité, et surtout si on ajoute les fonctions de président de la république. Le général-Sultan a donc des réels problèmes de santé
Depuis la chute inattendue de son ex-ami, l’ancien Président soudanais, Deby est sur tous les fronts surtout ceux des pays voisins qui le touchent. Directement : soudanais et libyen. Il s’occupe en effet ces derniers temps plus de la situation de ces deux pays que les problèmes de son propre pays. Au soudan, grâce à
Boko Haram n’était pas une création de Deby, loin de là ; elle l’a été le fait des généraux nordistes nigérians, (les Babangida, Buhari, Mahamat Chetté, etc.) quand ceux-ci traversaient le désert après avoir perdu le pouvoir en faveur des sudistes à l’issue des élections démocratiques. Les généraux nigérians avaient présenté Boko Haram à Deby
Soudan: selon les murmures de la rue, l’homme qui a été choisi pour remplacer le 1er Gal est aussi sale que le 1er, fortement impliqué dans le génocide du Darfour. Le parti islamiste qui cherche coûte que coûte à conserver le système aurait trompé la vigilance de la rue en conduisant le dernier Gal au
Oui, oui, soulagé, très soulagé même d’avoir pu sauver le système Oumar El-Béchir. En effet, Deby a suivi et intervenu directement ou indirectement, les évènements de Khartoum. Il était en contact permanent avec El-Béchir, en contact permanent avec le Chef des djandjawids par l’intermédiaire de son Directeur du cabinet militaire, cousin de l’autre, en contact
Depuis Amdjeress, Deby est en contact avec El-Bechir. Ils se téléphonent quasiment toutes les quarts d’heure ; la consigne est claire : ne démissionne jamais, utilise l’eau et le gaz lacrymogène pour faire disperser la foule. Il semble que ce sont les mêmes refrains qu’il avait balancés à El-Bechir lors de son dernier aller-retour. La
Au moment où le régime de Khartoum est sous la pression de la rue, on constate ces derniers temps un redéploiement massif des djandjawids, renommés depuis « Dam-Assery (Secours rapide), aux frontières Est du Tchad. Les populations frontalières, très inquiètes de cette présence, vont de toutes les spéculations ; pour certains, c’est à la demande