Psychose à N’Djamena
Publié le 1 Fév, 2015
Aujourd’hui, à N’Djamena il n’est pas bon d’avoir le faciès d’un Haoussa, Borno ou Kanouri; on est immédiatement taxé de nigérian et Boko Haram. Ainsi, les citoyens sont terrorisé, harcelés et emprisonné sans aucune forme de procès, leurs maisons fouillées, à la recherche des armes.