Comment le Gal DG de la police manipule IDI et prend en otage les différentes structures de l’État
Tahir Erda, puisqu’il s’agit de lui, est le DG de la police nationale ; il est probablement le seul analphabète Gal au monde dirigeant une telle institution publique. En fin, les américains ont raison d’ajouter le Tchad sur le black liste
Tahir Erda est certes multimilliardaire mais en même temps, il brasse, pour ne pas dire qu’il est très prolixe : il donne pour acheter les consciences, pour avoir des infos, pour accès aux sources inédites, bref pour avoir une cour étoffée des obligés et il en a ! Gentil, généreux et accessible, il a su prendre en main toutes les associations, et la majorité des partis politiques de l’opposition, il les achète, les noyaute, les divise, souvent complice avec certains membres de l’opposition et journaux locaux, il provoque parfois lui-même des grèves justes pour encaisser ses colossales sommes d’argent bloquées au niveau du trésor. En plus il entretient une cohorte de thuriféraires souvent proches d’IDI qui doivent chanter ses louanges et prouesses dans la gestion des manifs, à chaque rencontre avec IDI. Et lui-même disait : « je suis la personne la plus proche et la plus écoutée d’IDI plus que ses propres enfants »
Tous les membres les plus influents du Gvt, les SG des ministères, les DG des sociétés publiques, sont soit ses alliés soit ses obligés. C’est avec ceux-là et les oreilles bienveillantes d’IDI, que Tahir Erda case toute la médiocrité du pays à des postes de responsabilité sur l’ensemble du territoire et le dernier en date est son cousin direct Djougoune Ahmad. Tahir est l’une des causes directes de la faillite économique de l’État : Djougoune Ahmat Charfadine, un semi analphabète, aux douanes. Le projet de nommer Djougoune aux Douanes date depuis une année, depuis qu’il a été éjecté du fondé de pouvoir où il a amassé une fortune colossale qu’il se partageait avec ses supporteurs, les généraux analphabètes parmi lesquels Tahir Erda ; l’ancienne équipe (Diguimbaye et Banata)avait résisté aux assauts des généraux pour faire nommer Djougoune aux douanes, mais avec Sabre Djiddo, une demande de Tahir Erda ne peut être refusée, c’est ainsi que Djiddo Sabre, accompagné de Tahir Erda, s’est rendu chez le PM, un autre allié de Tahir, une fois le compromis (compromission) trouvé, le PM a personnellement proposé Djougoune au président. Ce n’est pas pour rien que depuis l’arrivée de Djougoune, déjà surnommé « DG Tigo cash », en raison de la façon dont il se fait transférer les fonds des provinces par ses nombreux parents nouvellement nommés, les recettes douanières ont substantiellement baissé. l suffit de comparer les recettes avant l’arrivée de Djougoune à celles de deux derniers mois. Apparemment, on est loin du slogan « zéro déperdition »
Depuis sa nomination aux douanes, Djougoune Ahmat a pris pour 1ère cible la Sonasut pour une raison très simple : pendant le laps de temps de son passage à vide, Djougoune s’est installé à Abéché et était devenu le principal fraudeur du sucre soudanais avec son parc auto composé d’une dizaine des gros porteurs et des dizaines de Toyota, il inondait toute la partie septentrionale du pays ; aujourd’hui, il a ouvert deux points d’accès pour faire rentrer le sucre en fraude par ses véhicules : Adré et Gozbeïda. Il faut liquider la Sonasut pour combattre la concurrence.
Les observateurs avisés du microcosme Béri pensaient que l’objectif du duo Tahir- Djougoune était d’amasser le maximum d’argent par des trafics d’influence, manipulations, achat des consciences, en s’alliant avec les uns et en combattant les autres, au détriment de l’économie nationale et de l’emploi, or depuis un certain temps, le duo est sur un scenario tout à fait nouveau.
Mahamat Sougour – N’Djamena
Tchad, à quand la fin de cet analphabétisme? L’arme et l’argent ont acheté les voix et les consciences qu’il faut. Pourtant l’on assigne souvent aux crises. Même en province on souffre de ces nominations confidentielles
HUMMMM Le Tchad est bizarre et ne changera pas. Le forum est un signal pour dire au peuple que l’heure de l’asservissement est arrivé.