Le dictateur, monarque Deby et ses laquais conduisent l’état tchadien à l’échec

L’ancien élève qui fait montre de sa médiocrité et de sa nullité à l’école de guerre de paris, le mégalomane Deby ne tient jamais compte de l’état d’esprit du peuple tchadien. Gouverner c’est prévoir n’est ce pas ? Le président à vie, le monarque Deby a levé l’option de s’accrocher au pouvoir et être au centre de l’effondrement des structures démocratiques, démographiques et économiques puis accentuer la misère noire du peuple tchadien.

Ce criminel à gage, hostile au monde intellectuel, de l’intelligentsia succombe dans les charmes du pouvoir tout en s’autoproclamant général d’armée tchadienne assimilé à celle de son clan a pour préoccupation majeure de forger les instruments de la ruine intellectuelle en supprimant la vie d’un grand Universitaire, professeur de mathématiques IBNI OUMAR MAHAMAT SALEH pour des raisons de conservations de son pouvoir tyrannique.

Depuis l’accession de ce scélérate au pouvoir en 1990, il ne fait qu’assurer la production, la promotion des diplômes médiocres, les exclus du savoir par le système scolaire tchadien. L’accès aux bourses d’études fait partie intégrante des domaines réservés de sa majesté DEBY. Le principe de discrimination applicable en matière d’attribution des bourses d’études et l’incapacité des structures d’accueil dans des Universités et Instituts universitaires font que des milliers des jeunes bacheliers qui ont fourni des travaux exigeants, rigoureux pour obtenir ce parchemin, qui devait en principe leur ouvrir les portes des études supérieures sont entrain de mener une vie d’errance dans les rues, dans les cabarets de diverses villes du tchad. La plupart de ces jeunes bacheliers en difficulté financière ont l’appétit de poursuivre les études supérieures, armés de courage surhumain sont nombreux en Afrique de l’ouest et en Afrique centrale. Ils ne vivent que de leurs boulots de gardiennage et de docker dans des ports. Pourtant les privilégiés, les satisfaits du clan de sa majesté et ceux de sa région qui sont d’ailleurs des étudiants de faible niveau, mais pour des raisons d’importance accordée à l’environnement familial, clanique et régional. Ceux-ci se retrouvent dans des prestigieuses universités d’Europe, des Etats Unies et d’Asie. Nonobstant des dépenses énormes engagées sur le fonds du pétrole de sa majesté, ces médiocres, intellectuels de faible niveau resteront toujours les exclus du savoir par le système scolaire tchadien.

Le mégalomane a réussi à restaurer son pouvoir exécutif, à fondre la vaste chambre d’enregistrement de Diguel (Assemblée Nationale) à son exécutif. L’Assemblée Nationale, dépositaire de la souveraineté nationale présidée par le servile NASSOUR GUELENDOUKSIA de NGOUN GAYA, homme sans honneur, sans dignité, né dans l’humiliation, éduqué dans l’himuliation et qui ne connaît qu’une seule chose. C’est-à-dire humilier ses pairs lors de la séance de révision des dispositions constitutionnelles pour l’encadrement des mandats de son patron DEBY.

Le bourreau de NGOUN GAYA doit retenir une chose : devenir parlementaire est l’ambition de tout homme politique. C’est selon l’expression de Robert BURON, « Le plus beau des métiers ».Tout tchadien sait, connaît que ce vrai faux staticien démographe à la tête de cette noble institution est issu d’une famille ou l’himuliation, la trahison est une vertu. Mais le fait de se noyer dans les abîmes de l’alcool ne vaut pas un fait justificatif de cet acte gravissime commis lors de la révision constitutionnelle. D’après le professeur Paul BASTID : « Restaurer l’exécutif c’est bien, humilier le parlement c’est inutile ».

L’analphabète politique de NGOUN GAYA mérite être édifié sur les cinq fonctions du parlement décrites dans la constitution britannique par Walter BAGEHOT, selon une conception désormais classique : la fonction électorale qui consiste a designer le chef du gouvernement ; la fonction expressive qui permet de connaître l’état d’esprit du peuple sur un sujet ; la fonction pédagogique, les parlementaires devant diffuser leur savoirs et instruire le pays de ses problèmes ; la fonction informative qui doit éviter le monopole de la détention de la communication de l’information par le pouvoir exécutif ; la fonction législative.

Le génocidaire DEBY continue à mettre en exécution le plan concerté de FROLINAT qui consiste à liquider, éliminer systématiquement tous les chrétiens et animistes au sud du Tchad.

L’intensification de la répression, la politique de terre brûlée est son activité principale et son sport favori. En août 1983 DEBY a transformé le village de DEDAYE dans l’actuel Département de KOUH-EST (BODO) en une mer de feu et de sang ; en 1984 DEBY et son frère BRAHIM ITNO, ministre de l’intérieur à l’époque ont sensibilisé la population de MAIBO (BODO) à venir massivement chez le chef de village écouter le message de la paix. A l’issu de cette rencontre ils ont ordonné a leurs soldats de tirer a bout portant sur la population d’où quarante cinq (45) paisibles citoyens étaient tués et en 1993 à KOUH MOUABE ( BODO) quatre vingt trois (83) citoyens ont étés tués sur les ordres de DEBY.

La région de MOYEN CHARI ne bénéficiant d’aucun investissement fiable depuis l’accession de DEBY au pouvoir (1990).Mais elle ne fait que collectionner les déboires, l’amertume depuis 1984, date a laquelle DEBY a orchestré, organisé le massacre des cadres sudistes (septembre noir de SARH).

Le criminel revient toujours dans son lieu de crime. Donc ce n’est pas une surprise pour les crimes crapuleux, les massacres perpétrés contre la population civile de MONT NIELLIM sous prétexte de la rébellion de colonel DASSER.

En 1997 à la suite d’enlèvement des touristes français par le docteur NAHOR MAHAMOUT NGAWARA, une chasse aux sorcières ainsi qu’une répression sanglante organisée sous la bannière de HAROUN KABADI contre les TOUNIAN, TOUMAK, MBOUA de la région de MOYEN CHARI.

En 2003, sous prétextes de rien une centaine de pauvres citoyens de MAIBOGO dans la région du MANDOUL étaient assassinés par les acolytes de DEBY.
En 1994 une série d’assassinats des paisibles citoyens dans la région de LOGONE OCCIDENTALE (BENOYE) ainsi que la région de LOGONE ORIENTALE (BEBIDJIA, DONIA, BEBOTO) était réalisée par la même méthode barbare de DEBY.
Les paisibles citoyens de la zone méridionale ne cessent de connaître les bavures, les drames et les actes de servilismes de toute nature depuis le 07 juin 1982 par la machine de répression installée (DDS) par les sanguinaires H. HABRE et son élève I. DEBY.

Notre organisation exhorte tous les étudiants, les cadres civils et militaires, les intellectuels de la zone méridionale d’être sensibles aux drames, aux bavures que sont en train de connaître quotidiennement nos parents du MONT NIELLIM dans la région de MOYEN CHARI. Aujourd’hui nos parents de MONT NIELLIM sont abattus comme des mouches, mais demain ça serait le massacre des parents de LOGONE OCCIDENTAL et LOGONE ORIENTALE. Donc il est nécessaire que nous prenions conscience et levons nous en un seul homme pour arrêter cet arbitraire.

DEBY n’aime pas et n’aimera jamais la zone méridionale. La remise en cause des principes de géopolitique en matière de gestion des charges publiques et la gestion des ressources provenant de l’exploitation du pétrole de DOBA sont des preuves tangibles.

Ainsi que la mise en marge des ressortissants des deux régions : BODO et BEBOTO dans le gouvernement aveugle de KASSIRE et de YOUSSOUF SALEH ABBAS. Ces deux régions constituent le poteau porteur de l’économie tchadienne en matière des produits agricoles tout comme le réservoir des intellectuels de haut rang à savoir : feu YOADOUMNADJI Pascal et YOKABDJIM MANDIGUE qui ont donné gracieusement le pouvoir au génocidaire DEBY ; Or ces deux régions étaient toujours représentées dans les gouvernements qui se sont succédés depuis l’indépendance, même dans le gouvernement dictatorial de HISSEINE HABRE. La mise à l’écart de BODO et BEBOTO du gouvernement aveugle de KASSIRE et de l’actuel gouvernement YOUSSOUF SALEH ABBAS n’est-elle pas une manière de remercier le feu Pascal YOADOUMNADJI, YOKABDJIM MANDIGUE qui ont offert le pouvoir au criminel DEBY sans tenir compte de la volonté populaire ?
Mais le tyran DEBY doit savoir, retenir que la marginalisation d’une catégorie sociale est source de la révolution.

Pour des questions d’intérêt des français, la France de Nicolas SARKOZY apporte son soutien à la politique de déshumanisation de DEBY. La coopération militaire, l’installation de la base militaire française au Tchad est au centre de notre malheur.

Les français ont de mémoire courte, même le président SARKO d’origine juive. Lorsque la France était envahie par les nazistes (Allemands) n’est-ce pas ce sont les Tchadiens de la zone méridionale qui étaient les premiers à répondre à l’appel lancé par le Général de GAULLE depuis Londres pour la libération de la France qui a décidé de ne pas voir les sudistes à la tête de l’Etat Tchadien ?

La France doit savoir que nous appartenons à l’époque de la diplomatie offensive, de terrorisme et l’Afrique noire a plusieurs partenaires. Donc pour notre libération ainsi que celle de notre zone méridionale, le massacre, l’assassinat des français au Tchad est l’unique solution. Car la France ne changera pas de politique qui consiste à placer les médiocres, les marionnettes au pouvoir en contre partie de la répression du peuple sudiste.

Qu’est-ce que NGARTA TOMBALBAYE a fait de très grave pour que la France nous mettre dans cette situation désagréable ?
Ce ne sont pas les français qui ont dissimilé le pétrole de DOBA qui devient leur pétrole avec le clan DEBY ?
NGARTA TOMBALBAYE ne fait que défendre l’intérêt général des tchadiens dont leur destin pèse sur ses épaules en tant que le garant de la souveraineté de l’Etat Tchadien, ;

Les cadres civils, militaires, les étudiants et hommes de troupe, des intellectuels de l’intérieur tout comme de la diaspora, tous les ressortissants de la zone méridionale de toutes les couches sociales mobilisons nous pour la formation et des actions terroristes. Car la rétorsion, la mesure de représailles contre les français ainsi que les intérêts de la France est une nécessité pour notre libération.
D’après MONTAIGNE : « Celui qui craint de souffrir, souffre déjà de ce qu’il craint »


Le coordonnateur de CERDISOP :
ROADOUMBE DOKARA SEVERIN


Commentaires sur facebook